BEAST MASTER
par le 25/01/22
1,925 vues

« Du premier contact à la symbolique du collier. » < Cet article a pour vocation d’aider les dominants et les dociles à gérer au mieux leurs intérêts communs et respectifs dans le processus de prise en main propre au BDSM. >

< Il est regrettable que trop souvent les uns comme les autres lorsqu’ils sont à la recherche du partenaire idéal agissent de manière opportuniste et sont même dépasser par les événements or la moindre erreur peut s’avérer fort préjudiciable. Il faut le savoir et avoir conscience en premier lieu qu’une relation bdsm ne né pas du tout de la même façon qu’une relation vanille en fait elle obéit à une logique. >

< Elles ressemblent quant à elle à ces mariages arrangés d’autrefois, on se recherche activement et systématiquement, on étudie ensuite l’opportunité de former un couple de manières réfléchies puis lorsque l’on s’est accordé sur l’essentiel, on s’engage formellement et l’on apprend peu à peu à s’apprécier et à s’aimer.>

< Mais pour faire suite, il était logique que je vous parle de ce Graal à ce qui motive le fond de mon article, c’est-à-dire la Symbolique profonde du collier. Du premier contact à la remise de l’objet, le processus de prise en mains est long complexe et rigoureux même s’il est vrai que c’est la soumise qui choisit son futur maître, c’est au dominant de diriger la relation dés le premier jour, il doit garder le contrôle des événements et gérer correctement le timing ce qui lui permet de démontrer sa capacité à structuré les rapports du couple. L’empressement est à proscrire d’un côté comme de l’autre. Le laxisme est tout aussi néfaste, il entache la relation pour toujours. L’expérience démontre qu’une docile incapable de se comporter comme une vraie bonne soumise avant même d’avoir été prise en main ne pourra que très difficilement changer du tout au tout une fois qu’elle portera le collier de son nouveau propriétaire. De même un dom qui a l’égard d’une soumise potentielle se montrerait faible ou même incapable de garder la maîtrise dès ses envies et de ses émotions ne pourra jamais devenir un maître à la poigne de fer dans un gant de velours ... Évidemment, mais en pratique rien n’est simple et facile.>

< On peut énumérer 2 étapes dans le processus de prise en mains. Règle numéro un les échanges et la validation de la recherche de chacun, une fois le contact établi entre le dom et la docile ceux-ci procèdent alors au premier échange par écrit, chat, messagerie instantanée, la première des priorités est de s’assurer de la nature du sérieux, de chacun, les annonces sont elles limpides aucun terme ne vous pose problème?? Comparé à ce que vous-même désirez est ce que tout vous semble compatible ?? Les réponses obtenues vous permettent de jauger le sérieux de votre interlocuteur. Presque toujours négligé, c’est échanges sont pourtant fort utile aux deux parties puisqu’il permet de cerner la personnalité les aptitudes et les attentes de chacun et qu’il évite toute négociation inutile pour cause d’incompatibilités première. C’est un formidable moyen de mieux se connaître et de prendre conscience de toutes les dimensions qui compose une relation BDSM et tout particulièrement le D/s . Et si le feeling passe le dominant doit étudier avec la plus grande attention chaque réponse donnée il y a toujours des compléments d’information à obtenir pour ne laisser subsister le moindre doute. Ces informations se fondent sous forme d’écrit ou verbaux cordiaux respectueux et constructifs. Au terme de cette phase de découverte mutuelle les deux parties s’accordent alors pour dire s’ils sont à priori compatibles ou pas et s’il est opportun de poursuivre la discussion afin d’envisager ensemble une relation BDSM. >

 

< L’étape suivante, règle numéro deux, c’est l’envoi par le dominant à sa soumise potentielle de sa check-list cet outil est plus connu que le questionnaire, il n’est cependant pas toujours très bien compris et utilisé notamment par ce que la plupart du temps, il manque à la docile les explications nécessaires à la bonne réalisation du travail qui est attendu d’elle.> < c’est pourquoi je conseille à tout dominant de prendre le temps de rédiger une petite annexe visant à faciliter la compréhension des différents termes et points listés dans la check-list, de donner des indications utiles pour que les évaluations soient les plus précises possibles et pour lever toute ambiguïté éventuelle. Pour le premier, il s’agira de savoir s’il aime faire telle ou telle chose à sa soumise pour la seconde, il sera question d’évaluer son acceptation à vivre telle ou telle pratique voulue par son dom. Il est indispensable que la docile demande des éclaircissements au dominant. Que les soumises ne s’étonnent pas que la check-list soit excessivement détaillée et crue !! Il s’agit très clairement de faire étalage au grand jour de ses pratiques BDSM et sexuels d’évaluer avec précision ses goûts et ses aversions, de révéler ou sans manque d’expériences justement. Il ne faut ni mentir ni exagérer dans un sens comme dans l’autre, ni omettre. > < Si tout a été compléter sérieusement et qu’elle est analysée avec rigueur et intelligence en regroupant et en recroisant les réponses le dominant obtient une idée précise du potentiel de la docile.> < Pour les personnes de nature soumise et novice encline à accepter beaucoup de nouveautés ou de pratiques qui ne les enthousiasment pourtant pas car elles estiment que c’est insupportable du point de vue morale, c’est personnes partent du principe que l’on doit se mettre en couple pour ensuite élaborer à deux une sexualité et des jeux qui tiennent compte des limites de chacun sachant que la personne docile sait à quoi s’attendre dés le départ, il est impensable qu’un dominant se prive de pratiques qui lui sont indispensables pour être satisfait et être heureux, et il doit savoir dés le début ce que la personne docile est capable de lui apporter dans le domaine sexuel ou des activités BDSM. > < Quant à la soumise sa nature intrinsèque la pousse tout naturellement à s’adapter aux exigences du maître ou de sa maîtresse, étant elle-même en quête de nouvelles sensations de nouveaux plaisirs de nouvelles expériences pouvant la faire évoluer voilà le moment tant attendu l’heure aux négociations… Les choses deviennent alors vraiment sérieuses puisqu’il est entendu que les parties envisagent de manière concrète de développer leur relation en tant que maître et soumise.> < Lorsque arriver au terme de leurs négociations le dominant et la docile sont parvenus à un accord global et détaillé que tout est bien clair pour eux deux, ils sont alors sur le point de s’unir dans le respect des principes de BDSM, c’est le temps des promesses et des serments le moment où il est enfin possible de taire sa raison pour laisser s’exprimer ses sentiments ! < Après le temps de noviciat, ou le début de l’histoire sans fin, qui varie extrêmement d'une personne à l'autre, les deux protagonistes vont décider de s'engager l'un avec l'autre d'une façon encore plus complète. La personne Dominante va estimer que la personne soumise est arrivé au terme de la base de son éducation (protocole, positions, découvertes des pratiques, connaissances théoriques, connaissance d'elle-même, de sa/son Dom, etc...). Tout ce qui fera qu'elle se sera révélée à elle même et pourra désormais se consacrer à l'éducation donné par son Maître pour la faire évoluer dans ce qu'elle est.> < C'est un acte fort, vous l'aurez compris, qui ne peut donc se faire après quelques semaines de lien, quelques jours, voir pire, comme je l'ai déjà lu, dès la prise de contact si la personne Dominante s'est déjà beaucoup investi dans le noviciat de celui ou celle dont il veut faire son/sa soumis(e), et lui faire porter son coller implique d'autres devoirs pour ce/cette Dom. Celui de toujours faire évoluer pour son bien-être son/sa soum, et non pour son plaisir personnel de Dom. Et devra tirer satisfaction et plaisir de cette évolution. > < Pour autant, est ce qu'un(e) Dom va poser un collier de suite à une personne soumise bien sur que non !!! Il va donc mettre d'autres « conditions » pour que la personne soumise soit digne de porter son collier et atteindre cet objectif prendra aussi du temps. > < Vous comprenez donc bien qu’un collier ne se donne pas à la légère. Ni ne s'accepte à la légère. Car la personne soumise s'engage aussi à tout mettre en œuvre pour que son Dominant soit fier de son attitude en toute circonstance. Faire honneur à son/sa Dom, et à l'éducation qu'il lui inculque, doit être sa priorité.> < Le/la Dom pose son collier comme il/elle l'entend et quand il estimera que le moment est venu pour que la personne soumise porte son collier, Il montre ainsi qu'il est son/sa Maître(se). Cette pose à lieu au choix, soit en public lors de la cérémonies des roses, soit en privé (c’est ma préférence) mais quel que soit le choix de la cérémonie, ce sera un moment fort un moment d'intense communion entre la personne Dominante et sa personne soumise.> < Un moment qui se veut le départ d'un lien que chacun s'appliquera à rendre le plus solide possible. Et qui les mènera tous les deux, enfin, je le souhaite à tous ceux qui s'engage dans cette voix, vers un accomplissement total de vos personnes dans cette osmose des âmes, des corps, et parfois aussi des cœurs. > < Et maintenant passons aux derniers chapitres un événement majeur dans la relation en BDSM qui correspond à la remise du collier. A cette occasion, le maître prépare suffisamment longtemps à l’avance une soirée généralement intime ou en publique et organisera les choses à sa convenance une cérémonie avec tous les rituels que cela implique et les mots-clés sont alors complicités amour offrande respect honneur dignité responsabilités noblesse solennité.> < Car la société a ses rites, mais en BDSM, c’est pareil. Il existe des cérémonies pour récompenser et souligner la réussite d’un (e) soumis (se). Lors de remise de collier, un passage de niveau, la réussite d’un défi, pour avoir vaincu ses limites, et marquer un engagement. Cela souligne un passage, une réussite, et développe l’estime de soi de la/le soumis (se) et sa fierté de servir son dominant.>

< PS : on ne pratique les cérémonies, et rituels qu’avec une soumise qui s’engage à suivre une éducation complète (novice puis soumise) ou esclave. A déconseiller avec des soumises invitées sauf exception.> < Pour ma part je vais procéder ainsi avec Irène bientôt, comme me la si gentiment appris ma guide autrefois. La cérémonie va se passer dans une pièce décorée pour la circonstance, en soirée des bougies seront disposées au sol pour former un triangle à l’intérieur duquel il y a un cercle. On appelle cela le Pentaclion. Il y a trois sortes de Pentaclion selon le stade d’évolution : novice, soumise, esclave.>

< Vêtu de noir, je serai, à la pointe supérieure du triangle.>

< Ma novice sera totalement nue si elle le désire ou elle pourra choisir des vêtements cérémoniels selon les circonstances. Elle se mettra dans le cercle en entrant par la base du triangle tête baissée, agenouillé au sol en disant.> « Maître, je m’offre nue, je ne vous cache rien, je veux vous appartenir, apprendre et progresser et être digne de devenir votre soumise ».

< Pour ceux qui souhaitent officialiser leurs unions en public lors d’une soirée BDSM, il existe Les cérémonies des roses comme j’ai précisé avant.>

Symbolique de la rose : La fleur de la rose, son parfum, symbolisent la beauté, l’harmonie, le plaisir, les valeurs du BDSM. La tige couverte d’épine les difficultés à affronter, les limites à repousser, les dépassements de soi, la volonté qu’il faut avoir pour réussir.> < Sa couleur définie la signification de la cérémonie. >

< Les Cérémonies des Roses>

< Cérémonie de la rose Blanche qui symbolise la virginité, la pureté, l’innocence et la recherche de perfection. Cérémonie destinée à la Postulante qui va par l’initiation devenir une meilleure personne. Une soumise qui veut renaître plus pure et qui veut se laver de ses erreurs passées pour renaître innocente, vierge et pure pour son Maître.> < Cérémonie des roses, c’est le Mariage BDSM.>

< Cérémonie de la rose Noire qui symbolise une régression, un regret, une trahison. Cérémonie ou la soumise va être rétrogradée à un rang inférieur. Elle peut aussi marquer la fin de leurs relation.> < Cérémonie des épines - pour s’engager à réussir à franchir une étape importante (vaincre un tabou, une peur, suivre une résolution, prendre une décision difficile.> < Cérémonie des fleurs - chaque cérémonie est symbolisée par une fleur différente qui est offerte en bijou et symbolise une qualité acquise, un tabou, une peur que tu as vaincu, franchi des limites. L’orchidée par exemple est offerte lorsque tu as atteint le Subspace trois fois.> < Cérémonie BDSM du Phoenix est une cérémonie spéciale car réclamée par la soumise elle marque un renouveau dans la vie de la soumise, un changement de cap, une épreuve difficile surmontée.>

< Mais revenons à nos moutons, qu’est ce que Le Pentaclion >

< Il est utilisé lors des cérémonies, matérialisé par des bougies qui forment au sol le cercle et le triangle et dans lequel la soumise entre. Il représente les trois stades d’évolution de la soumise >

< Symbolisme du Pentaclion>

< Le Cercle >

< Le cercle symbolise la soumise. Un cercle peut rouler, être instable. Le cercle va petit à petit pénétrer le triangle pour symboliser la stabilité qu’apportent les valeurs du Maître par le LIEN SACRÉ et la fusion Maître/soumise ou esclave. Le cercle dans la vie est partout, la terre, les étoiles, la roue du temps qui passe, les cycles de la vie, les saisons, tout est cercle. Il n’y a pas de début, pas de fin, il représente l’infini, l’éternité, la protection et la perfection. Il symbolise aussi la féminité. La soumise qui veut s'approprier ses valeurs prendra place dans le cercle.>

< Le Triangle >

< Le triangle symbolise le Maître, sa force, ses qualités. Le triangle est utilisé dans la formation des Maîtres pour symboliser l’équilibre des valeurs qu’il doit respecter. Il est symbole de stabilité. Avec la pointe vers le haut il représente la masculinité, la puissance, la virilité. Le triangle apporte au cercle (c’est à dire à la soumise et la je m’adresse à iréne) stabilité et équilibre, il empêche le cercle de rouler.>

< Le Pentaclion de novice>

< La femme, la féminité est symbolisée par un cercle. En entrant en soumission, la novice désire acquérir de nouvelles valeurs, une stabilité, développer un lien fort avec un guide, un mentor qui va l’éduquer, la dresser, l’épanouir.> Le triangle symbolise le Dominant, le Maître et les valeurs de la soumission. Le Pentaclion de novice symbolise le chemin que la novice doit faire pour acquérir par l’éducation et le dressage les qualités pour devenir une parfaite soumise en entrant dans le triangle, qui représente le Maître et ses valeurs.>

< Pentaclion de Novice >

< Le Pentaclion de Soumise Le cercle est en partie entré dans le triangle. Il utilise la base du triangle pour sa stabilité. Il symbolise la stabilité et la force de la relation Maître/soumise qui offre un équilibre parfait. La soumise est entrée partiellement dans le triangle, la soumission lui apporte épanouissement, plaisir, la relation, le lien est stable mais les deux parties droite et gauche du cercle qui dépassent du triangle symbolise le libre arbitre qu’elle garde et le respect de ses désirs, de sa liberté. Sa soumission est offerte au Maître mais selon ses conditions car la soumise garde toujours son libre arbitre et son droit de véto.>

< Pentaclion de soumise >

< Le Pentaclion d’esclave ou de soumise Céleste Le cercle est totalement entré dans le triangle. C’est un symbole fort. La soumise fusionne avec le Maître pour devenir esclave ou soumise Céleste. C’est à dire qu'elle lui voue une confiance totale, elle renonce à son libre arbitre et à son droit de véto.>

< Elle se laisse guider et fusionne totalement avec son mentor abandonnant son égo pour se laisser porter totalement par la vague de bonheur qu’elle ressent à son service. Bien-sur à tout moment, elle peut reprendre sa liberté, Le Maître doit se montrer digne de ce cadeau divin et se donner corps et âme également pour mériter cette confiance.>

< Pentaclion d’esclave >

< L’après Cérémonie L’après cérémonie est différente selon le type de cérémonie. Pour certaines Cérémonies (allégeance, accueil, vœux, remise de collier…) La soumise reconnaissante va s’offrir au Maître pour le remercier de cet honneur. Pour d’autres le Maître va récompenser la soumise pour ses efforts et sa progression par un repas, une soirée spéciale, un cadeau.>

< Pour conclure voyons rapidement les différents types de colliers BDSM.> < Il existe 3 types qui s’utilisent selon un cadre bien précis :

< A. Le collier de dressage ou de posture Le premier est le collier de dressage. Il est restrictif, contraignant et, avant tout, fonctionnel. Il est équipé d’un ou plusieurs anneaux dans le but d’y attacher chaînes et autres accessoires pour le jeu ou le dressage. Cet accessoire peut être agrémenté de clous pour garder le menton haut et la tête droite. Il peut aussi être large, comme un corset une minerve de cou pour contraindre tous mouvements de la tête. Il est souvent fait de cuir et/ou de métal et n’est pas spécialement agréable à porter longtemps. Il est souvent choisi par le dominant.>

< B. Collier d’appartenance Le second est démonstratif, il souligne l’appartenance à un/une Maîtresse. Il est porté tous les jours, selon les règles instaurées. Ce collier d’appartenance est un rappel de la hiérarchie imposée. Il sert alors d’accessoires souvent choisi mutuellement et porté dans le cadre intime. Il est léger et agréable à porter pour le/la soumise.>

< C. Le collier d’appartenance en public Le troisième type de collier est à but esthétique et de discrétion. Il a pour but d’être porté en public. Il ne souligne pas l’appartenance au monde BDSM clairement, seuls les pratiquants pourraient en reconnaître le sens. Il s’agit souvent d’un simple ras-de-cou (aussi appelé “Chocker”) et au goût de le/la soumis/e. Ce dernier signe d’appartenance n’est pas forcément un collier, et, selon les désirs du couple, il peut être un bijoux, un tatouage ou un vêtement. Les partenaires peuvent tout aussi bien décider de porter un collier d’appartenance ou de dressage même en public, ou rien du tout. C’est le consentement mutuel qui prévaut.>

< II. La signification pour le/la Maître/sse Le collier est à la fois un accessoire de discipline, de dressage mais aussi un signe d’appartenance. Le/La Maître/sse est totalement libre d’y apposer ses initiales ou sa marque pour insister sur la possession de l’autre Le/La Maître/sse voit en sa/son soumis/e portant cet accessoire comme un signe d’acceptation de sa soumission et signale qu’il est prêt à recevoir sa domination. Ce qui est, la plupart du temps, source de satisfaction-plaisir pour lui/elle. Le collier rappelle indéniablement qui dirige et qui exécute. Il est un point d’accroche et de saisie pour exercer une domination physique (traîner, attacher, conduire…) mais le collier est avant tout une domination psychologique.>

THE END

 

Pièces jointes
Thèmes: collier
3 personnes aiment ça.
Lilith Cat
Mazette..."une bonne soumise"... ce terme est horripilant... sans soumis/e il n y a pas de dominant/e, et inversement, et encore moins de "bon ou mauvais". Seul celui où celle qui enseigne, éduque, dirige, forme, forge, etc...est responsable du don de soumission fait par le/la soumis/e, ce qui n est en aucune façon mis en avant dans vos mots. Quand je lis de tels mots je ne vois que le côté dom qui ne pense qu à lui et son bien-être...sans se soucier de la confiance qui est indispensable, du processus mental pour y parvenir... obtenir l esprit avant le corps et créer un Lien fort, permettant une évolution commune et non unilatérale. Confiance, Respect, Consentement, Dialogues....un chemin long pour qu un/e dom puisse prétendre au titre de Maître/sse qui sera demandé par le/la soumis/e lorsqu apparaîtra le sentiment d appartenance totale, corps et âme...
J'aime 28/01/22
oni
Bonjour beast master, permettez moi d’y aller de mon propre commentaire. Vous dites «Il faut le savoir et avoir conscience en premier lieu qu’une relation bdsm ne né pas du tout de la même façon qu’une relation vanille en fait elle obéit à une logique. Elles ressemblent quant à elle à ces mariages arrangés d’autrefois, on se recherche activement et systématiquement, on étudie ensuite l’opportunité de former un couple de manières réfléchies puis lorsque l’on s’est accordé sur l’essentiel, on s’engage formellement et l’on apprend peu à peu à s’apprécier et à s’aimer. ». Pardonnez moi, mais vous parler pour vous, je vit ma sexualité bdsm depuis toujours, pour autant lorsque je rencontre une femme qui me plaît, je l’aime avant tout comme une femme ordinaire et la guide vers une sexualité différente ( en fait cela à été le cas avec la plupart de mes partenaire/compagnes/conquêtes), je ne crois pas que la relation bdsm soit nécessairement basé sur une simple relation sexuel/conformiste que l’on tente de transformer en relation amoureuse, mais peut être que j’ai mal interprété vos propos. Vous dite docile pour nommé une soumise mais je ne crois pas non plus qu’une soumise soit nécessairement docile ( mais bon, c’est peut-être une simple question de sémantique) je doit dire que je rejoint également sur ce point Lilith cat et luna-fee dans leurs commentaires, une soumise est avant tout une personne douer de sentiments, d’émotions, elle possède ses propres buts, ses propres désirs, besoins, fantasmes et ses propres limites, ne pas le prendre en compte et tenter de la soumettre aux seuls désirs du maître et illusoire, une telle relation me paraît difficile à maintenir sur le long terme (nous parlons ici de soumission, pas d’esclavage) Pour ma part, je crois que quelque soit les actes auxquels le dominant veux la soumettre, elle doit y trouvez son compte, y voir un intérêt pour elle-même, la satisfaction du dominant ne peut être que secondaire, sa propre satisfaction est indispensable dans un tel processus si le but est une vie à deux, une relation à long terme, mais la encore ça n’engage que moi, c’est mon point de vu personnel, mais je ne crois pas que, je site, «Cet article a pour vocation d’aider les dominants et les dociles à gérer au mieux leurs intérêts communs et respectifs dans le processus de prise en main propre au BDSM» Comprenez moi bien, je ne vous juge en rien, peut être est-ce votre manière de vivre votre relation, mais elle ne peut à mon avis pas s’appliquer à tout le monde (encore moins, je pense, à des «novices») Vous aller me trouver très «dure» mais je trouve que votre texte manque «d’humanité», nulle par il n’est fait mention de termes tel que consentement, respect, désirs, amour, émotions, liens affectifs qui me semble-t-il sont la base de toute bonne relations humaine. Bref, vous l’aurez compris je pense que votre article mériterais peut-être d’être un peut plus mesurer pour qu’il s’applique au plus grand nombre, de toute façon je ne pense pas que l’on puisse gérer chaque relation, chaque rencontre de manière identique. Vous avez le mérite d’avoir voulus exprimez la manière dont vous voyer les choses et je respecte cela, pour ma part je n’ai pas tenté d’écrire un manifeste sur la manière de construire une relation, je me suis contenté ( exercice plus facile que le votre peut-être) de raconter ma propre histoire, mon vécu, de décrire la manière dont nous vivons notre bdsm, les raisons qui mon poussé à écrire un contrat et lui proposer de porter mon collier. Cet article est dispo sur mon mur perso si vous désiré y jeté un coup d’oeil et est en cour de validation sur le site. J’espère que vous n’aurai pas pris ombrage de mon commentaire, je ne cherche en rien à vous juger, je désirai seulement donner mon avis car votre texte ma fait beaucoup réfléchir (il aura eu ce second mérite). Bien à vous. Dom Oni
J'aime 31/01/22
Agathe
Pourriez vous parler de votre expérience comme votre expérience et votre vision plutôt que de généraliser depuis vous ? Un « expert » en BDSM devrait comprendre que chaque personne et chaque lien n’obéit à aucune normes que la sienne dans la relation D/s ? Non ?
J'aime 23/01/24